Décidément, le croissant n’en finit pas de se réinventer. D’origine viennoise, ce fleuron de la boulangerie française continue à inspirer les artisans d'ici et d'ailleurs. Trait d’union entre le salé et le sucré, il se décline de la viennoiserie au snacking, pour une dégustation à toute heure. Ultra-polyvalent, il se prête à toutes les tendances. On le trouve nature, fourré, garni, gratiné, en version sucrée ou salée (lire LT n°332). Anti-gaspi, il se recycle en croissant aux amandes ou au jambon. Traditionnellement au beurre, il existe désormais en 100% vegan. Polymorphe, le croissant se présente droit ou courbé, en format maxi ou mini, nature pour les petits déjeuners d’entreprises ou aromatisé en guise de bouchée apéritive. Sans oublier ses créations hybrides, comme le cruffin (mixe croissant-muffin), le cronut (croissant-doughnut) ou le cretzel (croissant-bretzel).


Façon « brioche col tuppo »
Repéré sur Instagram : son usage en cornet, façon maritozzo ou brioche col tuppo, ces briochettes italiennes fourrées à la crème (glacée). Il a suffi d’un post de James Boulangerie, à Bangkok, pour lancer le buzz. L’établissement a fait du croissant sa spécialité, sous toutes ses formes : nature, fourré (au café, à la framboise, au chocolat, au caramel, etc.) et snack salé (jambon-fromage, champignons ou façon œuf Bénédicte).

Sa dernière idée : utiliser ses croissants, nature ou aromatisés, comme cornets, généreusement garnis de crème et coiffés d’un topping ultra-gourmand.
