Il s’agit du pourcentage de plaintes que la CNIL* a reçues en 2019 concernant la surveillance des employés sur leur lieu ou pendant leur temps de travail. Certains organismes (privés et publics) ont eu recours abusivement à la vidéosurveillance, à la géolocalisation, aux écoutes téléphoniques, à la vidéo-verbalisation des plaques d’immatriculation. D’autres ont été mis en demeure pour l’utilisation excessive de la badgeuse avec prise de photo à chaque pointage : « Une méthode qui pose question au regard du respect du RGPD** », explique la CNIL. n
*Commission nationale de l’informatique et des liberté.
**Règlement général sur la protection des données.