Evidemment, les banques et les maisons de crédit ont toutes refusé de financer l'achat du matériel mais Georges s'est passé de leurs services, « tous des rigolos qui ne comprennent rien » et a réussi à signer un contrat de location avec une entreprise privée.
Ses objectifs sont clairs : passer au moins un quintal de farine par nuit et pas question de faire du pain surgelé ! « Je compte travailler de minuit jusqu'à 8 h-10 h du matin et ma femme ouvrira le magasin à 7 h. De toute façon, je ne dors pas la nuit, alors autant travailler ! »
Un bel exemple de courage, mais un choix que leurs enfants ont eu du mal à accepter en raison de l'âge de leurs parents…